Devinez de qui il s'agit...
"Alors [...] a pris la parole, de sa voix métallique, articulant exagérément comme à son habitude, il a affirmé que rien ni personne n’empêcherait la mise en place des nouveaux décrets.
Pratiquant les habituels amalgames, il en a profité pour diaboliser ses opposants politiques, les tenant pour responsable des désordres."
Et bien en fait c'est Berlusconi. La ressemblance est frappante, non ?
C'est à lire chez Céleste ici, et à suivre là pour enfin arriver au Cogito ergo protesto.
Vous avez compris le truc, vous suivrez tout seul... (fouillez même, il y a notamment une note qui s'intercale entre ces dernières et qui nous remet de jolie mais brusque manière les pieds en france aussi...)
Ceci dit, ça ne fait pas chaud au cœur cette réaction des italiens face aux exactions de leur mégalo-dirigeant à eux ?
Et beau sens de la formule !
* je pense donc je proteste
vendredi
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salut Gwendal
RépondreSupprimeroui, les points communs entre le berlu et le sarko ne manquent pas...
merci de citer le texte, moi aussi j'ai me beaucoup ce "cogito ergo protesto"
c'est sympa chez toi :-)
il y a plein de copains...
bonne journeé
Oui ça m'avait frappé tout de suite ce passage... suffisait de changer le nom. Mais j'ai pas réagit de suite...
RépondreSupprimerMais là, entre la réaction italienne (ça fait plaisir) et ton « T'en fais pas », ça me démangeai de parler de ton regard... Le « Cogito ergo protesto » m'a donné un beau « prétexte ». Et Voilà :-)
Merci de ta visite